[EXPOS] 03.06 ▷ 02.09.2017 – STEINAR HAGA KRISTENSEN / OLA VASILJEVA / CLÉMENCE ESTÈVE / AURÉLIEN FROMENT & PROGRAMME HORS LES MURS – PASSERELLE Centre d’art contemporain Brest

[EXPOS] 03.06 ▷ 02.09.2017 – STEINAR HAGA KRISTENSEN / OLA VASILJEVA / CLÉMENCE ESTÈVE / AURÉLIEN FROMENT & PROGRAMME HORS LES MURS – PASSERELLE Centre d’art contemporain Brest

Expositions personnelles de STEINAR HAGA KRISTENSEN, OLA VASILJEVA, CLÉMENCE ESTÈVE, AURÉLIEN FROMENT du 03 juin au 02 septembre & PROGRAMME HORS LES MURS à la PASSERELLE Centre d’art contemporain, Brest.

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Exposition personnelle La PERIODE BRUNE (Origines moqueuses et scepticisme du doute) de STEINAR HAGA KRISTENSEN du 03.06 au 02.09 à la PASSERELLE Centre d’art contemporain, Brest.

Vernissage le vendredi 02.06.2017, 18:00

L’idée de période dans l’art est souvent associée à la «période bleue» de Pablo Picasso (1901-04), décrite comme un résultat de luttes personnelles et de perte. Les dernières productions de l’artiste norvégien Steinar Haga Kristensen émergent dans ce qu’il définit comme notre temps très «brun» marqué par les troubles politiques, moraux et identitaires du monde contemporain. Il l’appelle donc sa «Période Brune». On en trouve trace dès 2008 dans une exposition personnelle à Asker en Norvège sobrement intitulé «Brunt og Vanskelig» (Brown and Difficult). Depuis, cette coloration s’est développée dans un corpus riche, quoique légèrement plus polémique qui procède entre autres de la répétition de motifs subjectivement primitifs.

Ancré dans une mélancolie productive et un certain romantisme, le travail de Steinar Haga Kristensen est porté par une grande connaissance historique de l’art, un réel engagement sociopolitique, une rapidité de penser, de faire des liens, une vaste production, une vision et un dévouement à ses œuvres. Apparemment drôles, ses pièces peuvent avoir un fort point de départ politique ou sombre. Il utilise un langage visuel vernaculaire qui brise toutes les traditions dans la façon dont il est utilisé. Steinar Haga Kristensen n’est pas intéressé par le catalogage de quelque manière que ce soit mais peut néanmoins être vu comme un rebelle avec une cause. La forme de son travail s’étend des résultats d’événements, de la performance, de la sculpture et de la peinture aux interventions vidéo et télépathiques.

Avec le soutien de OCA – Office for Contemporary Art Norway.

STEINAR HAGA KRISTENSEN
Né en 1980 en Norvège. Vit et travaille à Oslo, Norvège.

Steinar Haga Kristensen a étudié à l’Académie des Beaux-Arts d’Oslo et de Vienne, ainsi qu’au Sydney College of Art. Entre 2013 et 2015, Steinar Haga Kristensen avait son atelier à l’étage supérieur de l’Hôtel de Ville d’Oslo, où il a créé une fresque monumentale, qui a servi de toile de fond à un ambitieux opéra en 2014. Haga Kristensen a présenté des expositions individuelles au Vilnius Contemporary Art Centre en 2014, à l’Etablissement d’en Face Projects à Bruxelles en 2013, à la Kunsthalle à Oslo en 2012.
Il est l’un des membres fondateurs du collectif d’artistes de la performance D.O.R. (www.d-o-r.org) Steinar Haga Kristensen est représenté par la Johan Berggren Gallery (Malmö, Suède).

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Exposition personnelle ZEFIRO TORNA de OLA VASILJEVA du 03.06 au 02.09 à la PASSERELLE Centre d’art contemporain, Brest.

Vernissage le vendredi 02.06.2017, 18:00

En empruntant les moments de l’histoire, de la littérature et des mouvements contre- culturels, Ola Vasiljeva crée des environnements imaginaires dans lesquels se mêlent la sculpture, le dessin, la vidéo et les objets trouvés. Elle s’intéresse aux traces laissés laissées, aux restes, aux matériaux et éléments qui indiquent ou suggèrent. Ses installations témoignent souvent d’un désordre vivant, jonchés d’indices de performances invisibles, d’activités obscures et souvent absurdes, comme autant de substituts pour des personnages supposément hors-champ.

Pour son exposition à Brest, l’artiste prend appui sur Zefiro Torna, un des madrigaux de Monteverdi dans lesquels les sentiments humains s’expriment, des plus légers aux plus profonds, incarnés par une musique d’une étonnante modernité. Loin de mettre en musique la pièce du maître italien, Ola Vasiljeva en interprète ce qui se passe – ou peut se passer – de l’autre côté du rideau de fond de scène, dans les coulisses, les corridors, les loges… Elle ne déroule pas une histoire ou une action mais les laisse entrevoir, incomplètes, non finies ou résolues comme si ce qui doit se jouer ici était recherché par l’espace lui-même. Dans un désordre poétique où les œuvres trouvent leur place aussi intuitivement que spontanément, l’exposition est vivante et mouvante. Elle devient un environnement suggestif mais aussi trompeur, confus, rempli de références intimes qui plonge les visiteurs dans les méandres narratifs. Artiste, œuvres et regardeurs participent alors d’une même
communauté pour produire un sens a priori caché.

Avec le soutien du Fonds Mondriaan.
Courtesy de l’artiste, Antoine Levi (Paris) et Supportico Lopez (Berlin).

OLA VASILJEVA
Née en 1981 à Ventspils en Lettonie. Vit et travaille aux Pays-Bas.

Ola Vasiljeva a fondé en 2008 OAOA (The Oceans Academy of Arts), un collectif informel d’artistes qui se définit comme un lieu de réflexion sur l’art et sur les manières de l’exposer. Selon chaque projet, les participants de l’OAOA se font artistes, collaborateurs, commissaires ou spectateurs. Chaque année OAOA publie un fanzine.
Ses récentes expositions individuelles comprennent notamment You’ve Got Beautiful Stairs, You Know au Kunstverein München à Munich en 2016; En Rachâchant à Vleeshal, Middleburg en 2015; The Limp of A Letter à BOZAR à Bruxelles en 2015. Son travail a également été présenté dans des expositions collectives comme XII Triennale Baltique d’Art International au CAC de Vilnius en 2015; University pour OAOA à Vleeshal, Middleburg en 2015; Growing Wildly, Den Frie à Copenhague en 2016; Last Seen Entering the Biltmore à South London Gallery à Londres en 2014.

Ola Vasoljeva est représentée par Antoine Levi, Paris et Supportico Lopez, Berlin.

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Exposition personnelle LES VEDETTES, ON NE S’EN SEPARE PAS de CLÉMENCE ESTÈVE du 03.06 au 02.09 à la PASSERELLE Centre d’art contemporain, Brest.

Vernissage le vendredi 02.06.2017, 18:00

«Je n’aime pas trop les musées» écrivait, volontairement provocateur, Paul Valery en introduction de son désormais célèbre essai «Le problème des musées» en 1960. S’il semblerait hasardeux de penser que la jeune artiste française Clémence Estève souscrit à cette déclaration, il n’en reste pas moins que, dans le sillon creusé par l’écrivain, son exposition à Brest constitue avant tout une problématisation poétique de ce qu’est le musée: le lieu de la tension entre le sensible et le scientifique, entre le désir, la recherche de plaisir esthétique et le travail d’organisation et de conservation.

Enigmatiquement intitulée Les vedettes, on ne s’en sépare pas, l’exposition est une invitation au voyage à travers des représentations de ces œuvres iconiques ou anodines qui jalonnent nos institutions et composent la collection de référence dont l’ordinateur de l’artiste regorge. Ici, pas de cohérence historique ou stylistique à chercher. Du modernisme au néo-classicisme en passant par la Grèce antique, tout y passe. En conservatrice omnipotente, Clémence Estève dispose et impose son musée.

Car ce qui se joue ici, c’est la construction du regard de l’artiste. Les vedettes dont elle ne se sépare pas, sont celles qui fondent son rapport aux formes qu’elle offre en partage. A travers un accrochage où les éléments scénographiques s’inventent sculptures, Clémence Estève invite le visiteur à une déambulation délicate dans un espace où s’entrechoquent les catégories, où les images sont autant magnifiées qu’altérées, où se joue le problème des musées.

Le projet de Clémence Estève a été développé dans le cadre des Chantiers– Résidence, programme de soutien aux artistes émergents en Bretagne mené par Passerelle Centre d’art contemporain, Brest et Documents d’Artistes Bretagne. Une archive du projet et de son développement est disponible à l’adresse suivante : www.leschantiers-residence.com

CLÉMENCE ESTÈVE
Née en 1989 à Marseille, France. Vit et travaille à Rennes, France.

Clémence Estève a étudié à l’Ecole Européenne Supérieure d’Art de Bretagne – site de Rennes où elle a obtenu son DNSEP ART (Diplôme national supérieur d’expression plastique) avec les félicitations du jury en 2015.
Résidence les Chantiers Durant ses trois mois de résidence, Clémence Estève a été accompagné par différents acteurs professionnels dans la conception et la mise en œuvre de son projet, dans les modalités de faisabilité, de réalisation et de gestion de sa production, dans la mise en perspective documentaire et sa diffusion médiatique tant en direction des scolaires que de la presse, etc. Parallèlement à la production, Clémence Estève a reçu le soutien d’Emilie Kermanach, chargée d’accompagnement des projets artistiques à CAE Chrysalide/Artenréel de Quimper pour ses démarches administratives. Un site internet dédié, mis en œuvre par Documents d’Artistes Bretagne, rend compte de la résidence et des étapes de conception et de réalisation du projet.www.leschantiers-residence.com

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Exposition personnelle ALLEGRO, LARGO, TRISTE de AURÉLIEN FROMENT du 03.06 au 02.09 à la PASSERELLE Centre d’art contemporain, Brest.

Vernissage le vendredi 02.06.2017, 18:00

Aurélien Froment tente de porter à l’écran la musique de Franco Melis, en en suivant les lignes. Ce musicien sarde, sonneur de launeddas est le dernier représentant de l’une des deux longues lignées d’artistes à avoir été formé de manière traditionnelle. La formation d’un musicien se faisait alors en partageant les journées d’un maître, depuis le travail agricole et domestique le matin jusqu’aux leçons de musique l’après-midi, sans discontinuité entre l’art et la vie. Le maître transmet à son élève les bases de chaque sonate à partir desquelles l’élève affirmera plus tard sa personnalité de sonneur. C’est une musique relationnelle, qui passe d’un souffle à l’autre sans aucun support matériel, ni partition, ni enregistrement.

Chaque instrument est composé de trois sections de différentes longueurs de roseaux chacune pourvue d’une anche simple que le sonneur de launeddas façonne lui même. À main droite, un roseau à 5 trous. À main gauche, un second roseau également à 5 trous couplé à un troisième roseau sans trou, le bourdon. Le sonneur joue des trois roseaux simultanément, produisant une sonate complexe à lui seul et d’un souffle continu.

Informé par le travail de recherche et d’analyse réalisé à la fin des années 50 par l’anthropologue danois Andreas Fridolin Weiss Bentzon et par celui de l’artiste Michel Aubry, l’artiste français est allé à la rencontre de Franco Melis pour essayer de reproduire à l’écran cette musique polyphonique d’un seul homme.

Le ruban du film passe à travers les engrenages de la caméra comme l’air circule du nez à la bouche du musicien lorsqu’il joue. Chaque morceau de musique filmé donne sa durée aux plans, sans coupe ni interruption. Les plans du film s’enchaînent comme les phrases musicales d’une sonate et jamais ne se répètent. Les lieux de tournage choisis pour porter la musique à l’écran inscrivent le son dans les différents champs de la réalité du sonneur de launeddas contemporain, reflétant autant des changements de paradigmes sociaux que la permanence d’un geste, loin de la simplification folklorique : au musée d’archéologie de Cagliari où est conservée une statuette de bronze représentant un sonneur 1000 ans avant notre ère (c’est le document le plus ancien qui atteste de la présence de l’instrument sur l’île) ; sur une colline face à Tuili, le village de Franco, site probable d’un nurraghe (constructions primitives en pierre que l’on trouve sur chaque point culminant d’un paysage, sans doute pour défendre un territoire et communiquer à distance) ; en bord de ruisseau – là où poussent naturellement les roseaux ; à l’atelier où naissent les premiers sons de la transformation patiente du matériau ; dans la cour d’une maison, là où la musique fait danser ; à l’église où les traditions païennes et chrétiennes se rejoignent ; enfin au musée local où Franco enseigne et où l’on assiste à la décomposition d’une sonate.

Sans commentaire et sans parole, le film est le lieu d’une exposition et de la représentation d’une musique. Avec toute l’allégresse, la puissance et la mélancolie de l’original.

Production Aurélien Froment & red shoes / Coproduction M-Museum Leuven
Avec le soutien du Irish Arts Council et de Passerelle Centre d’art contemporain, Brest.
Ce projet a été sélectionné par la commission mécénat de la Fondation Nationale des Arts Graphiques et plastiques qui lui apporté son soutien.
Courtesy de l’artiste et de Marcelle Alix, Paris

AURÉLIEN FROMENT
Né en 1976 à Angers, France. Vit et travaille à Dublin, Irlande depuis 2008.

Aurélien Froment étudie à l’École Régionale des Beaux-Arts de Rennes et de Nantes où il obtient son diplôme en 2000, ainsi qu’à la Manchester Metropolitan University. De nombreuses institutions ont produit des expositions personnelles de son travail: Wattis Institute (San Francisco), Le Crédac (Ivry-sur-Seine), Musée de Rochechouart, Gasworks (Londres), Montehermoso (Vitoria, Pays Basque Espagnol), Bonniers Konsthalle (Stockholm), Palais de Tokyo, FRAC Champagne-Ardenne (Reims). Il a participé aux biennales de Sydney (2014), de Venise (2013), de Lyon (2011) et de Gwangju (2010). En 2014, l’exposition Fröbel Fröbeled, dont la première présentation eût lieu au CAG de Vancouver (Canada), a fait halte à la Villa Arson (Nice) et à Spike Island (Bristol, Royaume-Uni).
Aurélien Froment est représenté par la Galerie Marcelle Alix, Paris.

 ~ PROGRAMME HORS LES MURS ~

Exposition Territoires extra de CHARLOTTE VITAIOLI / JOACHIM MONVOISIN

Résidence de production des artistes : 27 juin au 14 juillet 2017
Dans le cadre de la manifestation Arts à la Pointe (du 13 juillet au 21 août)
Vernissage de l’exposition le 14 juillet 2017 Chapelle de la Trinité à Plozévet

Territoires Extra est un projet de développement artistique sur le territoire de la région Bretagne
mené par Passerelle Centre d’art contemporain de Brest et la Criée Centre d’art contemporain de
Rennes. Les deux centres d’art conjuguent leurs regards, leurs expertises et expériences pour
accompagner les artistes dans la création et sa diffusion, dans un souci d’expérimentation, de
professionnalisation, et de rencontre avec les publics.

Territoires Extra émane du territoire régional et se veut un laboratoire de création, de diffusion et
de médiation en prise directe avec un tissu local qui manifeste un désir d’art. Territoires Extra est
un projet à vocation nomade et s’implante où les collaborations et partenariats sont possibles. Les
projets artistiques se développent avec les partenaires et prennent en compte à la fois
l’écosystème artistique et les spécificités locales.

Territoires Extra a pour objectif de soutenir l’émergence artistique en Bretagne par la production et
la diffusion, de construire un projet artistique en prise avec les acteurs territoriaux bretons et
d’inscrire l’émergence artistique dans une dynamique internationale.

Les projets s’inscrivent dans des zones éloignées de l’offre culturelle : à Plozévet, en Sud Finistère, en partenariat avec le Festival Arts à la Pointe et piloté par Passerelle, avec les artistes rennais Charlotte Vitaioli et Joachim Monvoisin ; ainsi qu’à Moncontour, dans les Côtes d’Armor en
partenariat avec la Résidence des Arts et piloté par La Criée, avec l’artiste américain David Horvitz,
l’artiste rennaise Félicia Atkinson et la commissaire d’exposition Barbara Sirieix.
Projet soutenu par la Drac Bretagne.

Arts à la Pointe
Art contemporain & Patrimoine
Chapelle de la Trinité
29710 Plozévet
ouvert tous les jours (sauf le mardi) de 10:30 à 12:20 et de 15:00 à 19:00
vernissage le vendredi 14.07.2017 à partir de 09:00
www.artsalapointe.com

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Exposition À corps et Âme – La médecine à la Renaissance du 08 avril au 05 novembre au Château de Kerjean, Saint-Vougay.

La nouvelle exposition du Château de Kerjean s’intéresse à l’Histoire de la médecine au 16e siècle et plus particulièrement à l’essor de l’anatomie et à ses effets sur la perception du corps et de l’âme. Objets historiques et oeuvres d’art contemporain dialoguent et tissent des liens entre la Renaissance et notre société.

À la Renaissance, le tabou de l’ouverture du corps humain se lève progressivement et les dissections se multiplient en Europe dans les théâtres d’anatomie. Praticiens et artistes travaillent ensemble pour cartographier ce continent encore inexploré dans son entièreté et diffuser ces nouvelles connaissances.

Les travaux d’André Vésale et d’Ambroise Paré, entre autres, amorcent une rupture qui se confirme au 17e siècle. Certes, la théorie des humeurs, qui fait du corps et de l’âme deux entités interdépendantes, est encore vivace. Progressivement toutefois, le corps devient une machine au fonctionnement de moins en moins mystérieux.

Dans le parcours de l’exposition, sont présentés des objets et des oeuvres historiques témoignant du monde médical à la Renaissance. Des oeuvres d’artistes contemporains et des films d’animation leur font écho, et donnent à réfléchir sur l’évolution de la médecine et la place du corps et de l’esprit dans notre société actuelle.

Les artistes présentés : Renaud Auguste-Dormeuil, Hans Bellmer, Clémence Estève, Lionel Estève, Jennifer Mackay, Jeanne Susplugas, Sarah Tritz, Samuel Yal

À corps et âme s’inscrit dans un cycle dédié à la thématique « Corps et esprit » à la Renaissance. En 2018 : la beauté idéale, en 2019 : La folie.

Exposition conçue et réalisée par le Château de Kerjean – EPCC Chemins du patrimoine en Finistère en partenariat avec le Centre d’études supérieures de la Renaissance, Université François Rabelais,Tours et Passerelle Centre d’art contemporain, Brest.

— EPCC Chemins du patrimoine en Finistère – Château de Kerjean 29440 Saint-Vougay

du 08.04 au 30.06 et du 02 au 30.09.2017 : tous les jours (sauf le mardi) de 14:00 à 18:00 du 1er.07 au 1er.09.2017: tous les jours de 10:00 à 18:30

Passerelle Centre d’art contemporain

41, rue Charles Berthelot / F- 29200 Brest

www.cac-passerelle.com

Heures d’ouvertures / Opening hours
Ouvert le mardi de 14:00 à 20:00 / du mercredi au samedi de 14:00 à 18:30 / fermé les dimanches,

Plein tarif : 3 €

Entrée libre le premier mardi du mois / Free admission the first Tuesday of each month
Gratuité sur présentation de justificatif : adhérents, scolaires individuels, étudiants, demandeurs
d’emploi, membres de C-E-A et de l’AICA

Passerelle Centre d’art contemporain, Brest bénéficie du soutien de la ville de Brest, de Brest métropole, du Conseil Départemental du Finistère, du Conseil Régional de Bretagne et du Ministère de la Culture et de la Communication / DRAC Bretagne. Passerelle Centre d’art contemporain, Brest est membre des associations ACB – Art Contemporain en Bretagne d.c.a. – association française de développement des centres d’arts