02▷08/07 – Amélie Labourdette – TRACES D’UNE OCCUPATION HUMAINE – GALERIE CHEZ ARTHUR ET JANINE ARLES

02▷08/07 – Amélie Labourdette – TRACES D’UNE OCCUPATION HUMAINE – GALERIE CHEZ ARTHUR ET JANINE ARLES

LES RENCONTRES DE LA PHOTOGRAPHIE ARLES 2018

Amélie Labourdette, Traces d’une occupation humaine. Série photographique réalisée dans le bassin minier d’extraction de phosphate de Gafsa, aux portes du désert tunisien.

Vernissage le mardi 3 juillet à partir de 19h

Rechercher l’esprit du lieu, c’est tenter de saisir une aura qui interpelle la mémoire

Là, nappes d’eau souterraines et sources artésiennes ont assuré la continuité d’une présence humaine. Cette constellation d’images tente de rendre compte, par la mise en regard de strates temporelles, des traces et des empreintes laissées sur ce territoire aux paysages pluriels. Que ce soit le Monde des morts des nécropoles du Néolithique et de la Protohistoire, avec ses croyances animistes qui persistent encore aujourd’hui, que ce soit la résistance du mouvement armé des « fellaghas » sous le protectorat français, ou ce paysage littéralement retourné, bouleversé par des carrières à ciel ouvert, ce « feuilletage » tisse son sens de ces imbrications.

« Une image est ce en quoi l’Autrefois rencontre le Maintenant dans un éclair pour former une constellation. » Walter Benjamin

Ce projet Traces d’une occupation humaine a été réalisé en deux temps : en 2016 dans le cadre de la résidence Under The Sand, menée et produite par Azone (France) et l’association Delta (Tunisie), puis en 2018 avec le soutien du Centre National des Arts Plastiques (bourse de soutien à la photographie documentaire contemporaine), ministère de la Culture et de la Communication.

www.amelie-labourdette.com

Exposition du lundi 2 juillet au dimanche 8 juillet 2018
de 11h à 19h
Chez arthur et janine,
56 rue du 4 septembre, Arles
Visuel de présentation : Traces d’une occupation humaine. Série photographique réalisée dans le bassin minier d’extraction de phosphate de Gafsa, aux portes du désert tunisien. Tous droits réservés Amélie La Bourdette.